Intimité
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The flows of Intimacy, 1995
The personal handwritten letters are part of those tings nealy immaterial who are very intimimte to us. The territory of a piece of paper or a postcard contaning a thought, a travel descroption, un important event, an anodine fact etc. After this logic, the personals letters presents a multitude of small private spaces, moments without much importance, un constant streem “hors lieu” . To indistinct for the stastic to banal for the Histoie. Writing somebody is somehow as a prolongation of ones intimate space, bound a physical and mental border. In some way its also a way of “immortalizing “ one banal story, to raise the ordinary to some degree of singularity worthy attention. To preserve a piece of life on a white paper or press a flower between two pieces of paper. To seize a particulary moment. Try to definate it through the events who sorrounds it. To give an sensation of what the intimace means one have to have tried to intgrate the deep feeling of intimacy from the other, other persons. An artistic expression are not compulsorily an individual expression but may also be the atmosphere of an invisible presence of things and individuals..... CM
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La fluidité de l’intime
Les lettres personnelles font aussi parties de ces choses quasi immatérielles qui nous sont très intimes. Le territoire d’une feuille de papier, une carte postale contenant une pensée, un récit de voyage, un évènement important, un fait anodin, etc. Dans cette logique, les lettres personnelles présentent une multitude de petits espaces privés, de moments sans importance, un fluide constant hors-lieu. Trop vagues pour les sondages, trop banals pour l’Histoire. Ecrire à quelqu’un est en quelque sorte une prolongation de son espace intime, au delà de la barrière mentale et physique. C’est aussi un peu une manière “d’immortaliser” une histoire banale, d’élever l’ordinaire à un degré de singularité digne d’attention. Préserver un morceau de vie sur une feuille blanche ou presser une fleur entre deux feuilles de papier. Saisir l’intimité d’un moment particulier. Essayer de la définir par les évènements qui l’entourent. ....pour donner une sensation de ce que peut être l’intimité, il faut avoir essayé d’intégrer le sentiment intime de l’intimité de l’autre, d’autres personnes. Une expression artistique n’est pas forcément une expression individuelle, mais peut être aussi l'atmosphère d'une présence invisible, d'une multiplicité de choses et d'individus... CM
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Life lines / lignes de vies
Charlottenborgs Efterårsudstilling, Copenhague, 1995.
Installation fait par environ 100 lettres de différentes personnes, recopiées à la main en respectant l'écriture de chaque, film anti U.V. mauve au fenêtres. -
Life lines / lignes de vies
Charlottenborgs Efterårsudstilling, Copenhague, 1995.
Installation fait par environ 100 lettres de différentes personnes, recopiées à la main en respectant l'écriture de chaque, film anti U.V. mauve au fenêtres. -
Couverture de "vies"
Photo, 2017
Couverture tissée avec les 100 lettres de l'exposition à Charlottenborg.
Exposition, "Wild at Heart" Galerie Jousse/Seguin, Paris, 1995. -
Couverture de "vies"
Photo, 2017, Close up.
Couverture tissée avec les 100 lettres de l'exposition à Charlottenborg.
Exposition, "Wild at Heart" Galerie Jousse/Seguin, Paris, 1995. -
Couverture de vies
Couverture tissée avec les 100 lettres de l'exposition à Charlottenborg.
"Wild at Heart" Galerie Jousse/Seguin, Paris, 1995. -
Wild at heart
"Wild at Heart" Galerie Jousse/Seguin, Paris, 1995.
co-organisée avec Serge Lupas.
participants: Bechmann, Compte, Joseph, Kærn, Lévêque, Ploug, Villesen, Bruant, Gallavardin, Karlsson, Land, Lislegaard, Melchiors, Meste, Ramsø, Zieger, Buchardt, Haaning, Koester, Larsson, Lupas, Nouguiès, Sommerlund. -
A room of one's own
"The great divide", Espace Bricks & Kicks, Wien, Autriche, 1996.
Dessin avec feutre sur photo impression jet encre.
Le cadre de l'exposition était un labyrinthe composé de matelas gonflables. -
A room of one's own
Dessin sur tirage jet encre, dim. 80x58cm.
"The great divide", Espace Bricks & Kicks, Wien Autriche, 1996.
Participants : Eva Bodnár, Franz Graf, Oliver Hangl, Elke Krystufek, Michaela Math, Rupprecht Matthies, Muntean/Rosenblum, Nicolas Jasmin (N.I.C.J.O.B.), Walter Obholzer. -
"In the space of nowhere"
Galerie Chez Valentin, Paris, 1995.
Dessin mural au feutre rouge, une ligne de 12m de texte, une tresse d'imortelles. -
Palais de la femme, 1994
Le Palais de la femme was acquired by the Salvation Army and inaugurated in 1929 as a hostel. 640 rooms for women, who came to Paris from the province. Today it is still run in the same spirit.
"During the preparation of the exhibition, we realized the importance of integrating the constraints inherent in the etics and daily life of the hoste, in our project. A gallery and a museum, by way of their function, permits the artist to approach any subject, by providing a protective framework around any subversive work of art. In the Palais de la femme we found ourselves on foreign ground, in a reality with rules that we must respect. The exhibition can therefore be seen as a invitation to open a dialogue between serval, very different, parties".
Extrait du catalogue : Femmes publiques, sortie à l'occasion de l'exposition, 1994. -
Intimate space
Palais de la Femme, Paris 1994.
Paravent, armoires sans porte, haut-parleurs, pièce sonore (énumération de vêtements lue par quelques habitantes du Palais de la femme).
Exposition de groupe avec Name Diffusion et Art Domestique Production. -
Lysthus
Proms, Kunsthallen Brandts Klædefabrik, Odense, DK, 1994.
Structure métallique 360x250x180cm, tresse de fleurs séchées, haut-parleur, pièce sonore.